Képi Blanc
Élément spécifique et distinctif de la tenue, il trouve ses origines dans le port de l’ancien couvre képi qui, sous l’action du soleil et des lavages répétés, prenait un aspect immaculé. Il est porté par les militaires du rang tandis
que les officiers et sous-officiers ainsi que les caporaux-chefs (ou brigadiers-chefs) anciens portent un képi noir. Mondialement connu, le terme est devenu synonyme de « légionnaire ».
Les caporaux-chefs comptant plus de 19 ans et demi de service actif (effectués à la Légion étrangère) portent le même képi que les sous-officiers subalternes (dit « képi noir »).
Leur désignation se fait par le général COMLE sur une liste établie par le colonel adjoint. La remise officielle du képi noir doit revêtir un caractère solennel : elle est effectuée par le COMLE, le chef de corps ou leurs représentants, prioritairement dans le cadre des fêtes Légion ou régimentaires.
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Le béret vert
La première unité de la Légion étrangère qui porta le béret fut la 13e DBLE pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais il s’agissait d’un béret couleur « moutarde », qui avait été initialement attribué aux unités de forteresses.
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Les pionniers
Existant à la Légion étrangère depuis 1831, les pionniers symbolisent la double vocation des légionnaires : « soldats et bâtisseurs ». Ils étaient initialement uniquement au 1er RE, aux régiments outre-mer et aux régiments de génie, mais aujourd’hui, tous les régiments peuvent disposer de pionniers au choix du chef de corps. L’effectif minimum déployé doit alors être d’un sous-officier et de 9 caporaux-chefs, ou caporaux.
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Le « pas Légion »
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