Ceinture bleue
« La ceinture de laine, modèle général pour les troupes d’Afrique », était à l’origine et jusqu’en 1882, un accessoire vestimentaire, de couleur variable, porté sous les vêtements, afin de prévenir les refroidissements et la dysenterie. Parce qu’elle était perçue comme une contrainte par les légionnaires, les officiers la portèrent les premiers de manière apparente et imposèrent à leurs légionnaires d’en faire autant pour vérifier qu’ils en étaient bien pourvus.
La ceinture bleue est longue de 2,40 mètres et large de 14,5 centimètres, elle nécessite l’aide d’un camarade pour être mise correctement.
Le pli doit être parfaitement centré.
La Légion étrangère a conservé cet usage et portait indifféremment la ceinture bleue sur la chemise, la veste ou la capote. Aujourd’hui, le port de la ceinture bleue avec la tenue de combat est interdit.
Contenus associés
Le béret vert
La première unité de la Légion étrangère qui porta le béret fut la 13e DBLE pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais il s’agissait d’un béret couleur « moutarde », qui avait été initialement attribué aux unités de forteresses.
02 septembre 2025

Les pionniers
Existant à la Légion étrangère depuis 1831, les pionniers symbolisent la double vocation des légionnaires : « soldats et bâtisseurs ». Ils étaient initialement uniquement au 1er RE, aux régiments outre-mer et aux régiments de génie, mais aujourd’hui, tous les régiments peuvent disposer de pionniers au choix du chef de corps. L’effectif minimum déployé doit alors être d’un sous-officier et de 9 caporaux-chefs, ou caporaux.
02 septembre 2025

Le « pas Légion »
La cadence réglementaire du « pas Légion », lors des déplacements au pas cadencé et au cours des défilés, est de 88 pas par minute.
02 septembre 2025
